Titre :  Harry Potter et l’ordre du Phénix

Auteur : J.K Rowling

Edition : Folio Junior

Genre : Jeunesse

Pages : 1030

 

 

 

A quinze ans, Harry s’apprête à entrer en cinquième année à Poudlard. Et s’il est heureux de retrouver le monde des sorciers, il n’a jamais été aussi anxieux. L’adolescence, la perspective des examens importants en fin d’année et ces étranges cauchemars… Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour et, plus que jamais, Harry sent peser sur lui une terrible menace. Une menace que le ministère de la Magie ne semble pas prendre au sérieux, contrairement à Dumbledore. Poudlard devient alors le terrain d’une véritable lutte de pouvoir. La résistance s’organise autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours …

Comme je m’en doutais, ce cinquième tome est un coup de coeur pour moi. Malgré ces 1030 pages ( bon, oui, j’ai mis un certain temps à les lires…).

J’ai adoré ce tome, on rentre vraiment dans l’action de cette nouvelle guerre contre Voldemort. Surtout après la constitution de l’A.D (l’Armée de Dumbledore). L’A.D formé de tout les personnages que j’adore, Hermione, Ron, Luna, Ginny, Neville et Harry, qui vont tous rester soudé jusqu’au bout, même devant les mangemorts.

Au début du livre, on découvre vraiment l’ordre du Phénix, qui en fait partis, ce qu’ils font (enfin pas tout, c’est un secret même avec les oreilles à rallonge). On découvre aussi de nouveaux personnages comme Tonks ( que j’aime beaucoup et qui est plus présente dans le livre que dans le film, c’est dommage) et on en retrouve certains comme Sirius, Lupin et Maugey. Les Weasley sont, eux aussi bien présents dans cet ordre qui est établi dans l’ancienne maison de famille des Black.

Tout change dans ce tome, Dumbledore est discrédité aux yeux de tous par le ministère de la magie. Ils le prennent tous pour un fou, lui qui certifie que Voldemort est de retour. Il va même se retrouver avec une professeure imposé par le ministère : Dolorès Ombrage, qui va même au fil des mois devenir inquisitrice de Poudlard, elle va créer décret sur décret, allant jusqu’à interdire le quidditch. C’est un personnage vraiment odieux, exécrable et j’en passe, avec sa tête de grenouille et ses yeux globuleux, elle sème la terreur au sein des élèves. Heureusement, les jumeaux Weasley arriveront à la mettre hors d’elle en faisant une sortie fracassante de Poudlard ( je les adore ces deux-là).

Mais surtout, ce tome fait apparaître mon personnage favori de cette saga: Luna Lovegood. Je l’aimais déjà énormément dans les films, mais ce livre n’a fait que confirmer mon avis. Elle est tellement différente des autres. On le découvre dès la première ligne, seule dans son wagon concentré dans la revue le chicanneur qu’elle tiens à l’envers. Puis avec sa tête de lion, tout le monde la considère comme folle, moi, je la trouve très intelligente à sa façon.

Par contre, parlons personnages que je n’ai vraiment pas appréciés dans ce tome mis à part Ombrage bien évidemment. Il y a donc Cho, je la trouve nunuche, elle ne sait pas ce qu’elle veux et elle traîne de force sa copine dans l’A.D, qui les trahira par la suite. Et surtout Percy Weasley, je ne le portais déjà pas dans mon cœur dans le tome précédent, mais là… Il renis sa famille et ses valeurs pour lécher les bottes de Fudge, jusqu’à envoyer une lettre à Ron, il m’a clairement insupporté. 

On apprend énormément de choses dans ce tome, beaucoup plus que dans le film, je trouve, surtout à la fin, je comprends mieux certaines choses désormais. 

La fin nous transporte littéralement dans ce qui s’annonce comme la deuxième guerre contre Voldemort, on y découvre également Bellatrix Lestrange, la plus loyale des serviteurs de Voldemort. Ce livre, marque la fin définitive de la tranquillité du monde des sorciers, et le retour de la magie noire…

 

---

Quelques citations en bonus…

–  La jeune fille dégageait manifestement une aura de folie douce. Peut-être était-ce dû au fait qu’elle avait collé sa baguette magique sur son oreille gauche ou qu’elle portait un collier constitué de bouchons de Bièraubeurre, ou encore qu’elle était en train de lire un magazine en le tenant à l’envers.

– Tout homme s’enrichit quand abonde d’esprit.

– Ce n’est pas parce que tu as la capacité émotionnelle d’une cuillère à café qu’il en va de même pour tout le monde.

– L’avantage d’avoir grandi avec Fred et George, dit Ginny d’un air songeur, c’est qu’on finit par penser que tout est possible quand on a suffisamment de culot.

– En définitive, il n’était pas très important que tu ne saches pas fermer ton esprit. C’est ton cœur qui t’a sauvé.